Si il y a bien une personne qui est, normalement, difficile à comprendre, c'est Sae Ho. Même avec l'esprit le plus détendu du monde, il est presque impossible de comprendre le garçon.
Alors je vais essayer de bien décrire, et de faire simple. Donc. Kim Sae Ho, ou l'homme le moins expressif au monde. Pas visuellement, hein - le bonheur, le plaisir, le désir, la peur, la tristesse, toutes ces merdes, se voient sur son visage. Mais, dans ses mots. Ses mots resteront les mêmes, qu'il se chie dessus ou non. Fierté, ou juste incapacité à s'exprimer, prenez cela comme bon vous semble.
Pour en rajouter une couche, le garçon a une mauvaise manie ; il s'attache facilement - très, beaucoup trop - aux personnes qu'il rencontre. Il suffit simplement que le courant passe, pour qu'il vous considère comme son ami. Oh, bien entendu, il est social, mais pas naïf. Si il ne vous sent pas, si il voit votre mauvais côté, votre sale gueule, ou je ne sais quoi, et que tout ceci ne lui plait pas, il vous dégagera à coups de mots. Justement. Il ne frappe pas. Il n'aime pas spécialement la violence, ni même tout ce qui s'en approche. Il vous insultera juste, ou vous "clashera". Il sait trouver les mots, croyez-moi. L'une de ses grandes qualités est d'observer facilement son entourage. Son regard est perçant, et au bout d'une bonne heure, il est capable de dire si la personne est mauvaise ou bonne. Enfin, il ne faut pas non plus être con ; si quelqu'un est souriant, il est agréable, si quelqu'un est constamment blasé, il l'est moins. Il peut aussi deviner les intentions - enfin, tant qu'elles ne sont pas trop compliquées. Pareil que pour la nature d'une personne. Il ne faut pas être trop demeuré pour comprendre que, si une personne vous fait du rentre dedans, ce n'est pas pour manger des cupcakes sous une tente.

Dernières précisions ; et pas des moindres : Sae Ho ne pleure pas. Ou, du moins, jamais. Ce n'est pas une maladie. C'est normal. Ses larmes sont difficile à arracher. Et il ne pleure que pour une bonne, très bonne raison. Pas pour un film. Pas pour une musique. Pas pour des insultes. Pas pour des regards. Pas pour un rejet. Disons qu'il pleure uniquement lorsqu'une personne qui lui est très chère est concernée. Sa mère, son père, son flirt du moment, des choses dans le genre. Pas quand le strip-teaseuse du coin s'est faite baisée comme une mal-propre, et a été retrouvée morte. Là, il s'en branle. Total. Secondo, c'est une personne très vulgaire et très souriante. Mal élevé, aussi, il n'hésitera pas à parler la bouche peine, mettre ses pieds sur la table, faire des doigts d'honneur à tout va.

Il n'est ni un bon garçon, ni un mauvais. Il a ses complexités. Et si vous avez compris, je vous offre un pancake.

Ton déclencheur c'est quoi hm ? :  Son déclencheur en est un bon - du sens où il ne se manifeste pas souvent. Sa seconde personnalité entre en scène - et pendant très peu de temps, une dizaine de minutes - lorsqu'il pleure. Sachant qu'il pleure tout les trente six du mois, erm. Cela arrive peu souvent, et, quand bien même, ne dure pas longtemps. C'est pratique, pour lui. Bien que lorsqu'il change, même deux minutes, et qu'il revient à lui, il se sent perdu. Un peu ailleurs, à l'Ouest.

Ton caractère, il est comment quand t'es pas toi ? : Il n'est pas l'exact opposé de lui-même, seuls quelques détails changent. Pour commencer, son sourire disparaît - il fait toujours la gueule. Ensuite, il ne supporte plus qu'on le touche. Touchez-le pendant les quelques minutes où il n'est plus lui-même.... En disant Adieu à tout vos membres. - quand je dis TOUT vos membres, ce sont tout vos membres. Son côté "peaceful", "non-violence", disparaît, et il devient pire qu'un chien. Il frappe, tape, moleste. Impossible de le stopper tant qu'il n'a pas réglé son compte au principal intéressé - sauf si il redevient lui-même.

Cette partie devrait s'appeler les petits soucis d'un zizitop. Bien entendu, je ne vais pas raconter toute sa vie comme Maupassant l'aurait fait, eh, non. Pas mon style.

Donc, on va résumer le commencement, hein. Premièrement, Sae Ho naît. - non parce que pas de Sae Ho, pas d'histoire. Un soir d'été, alors que sa mère gueulait à mort, et que son père lui tenait la main, se faisant insulter comme un gueux. C'est donc un joli petit Sae Ho qui sort de sa très chère mère. Ses premières années se passent normalement, rien de bien intéressant, hormis quelques gaffes - comme renverser un pot de fleur sur le chat, ou bien, goûter aux croquettes du chien, des conneries du genre. Rapidement, ce sont des choses plus conséquentes qui se produisent - des petits vols dans le porte-monnaie des parents.

Oh, j'y pense. Les parents de Sae Ho sont de riches entrepreneurs. Disons que le porte-feuille est bien rempli, mais, étant de gros radins, ils ne le vident que très rarement. Même pas pour les dix neuf ans de Sae Ho. Vous croyiez quoi ? Tss. Paysans.

Donc, je reprends. Des conneries plus conséquentes, des vols, ou bien des petits rackettes, quand il quémandait le déjeuner d'un de ses copains. Il rejeta aussi beaucoup de personnes - filles comme hommes, mais surtout filles. Son coeur n'était pas à prendre, à dix ans, il était déjà certain qu'il allait se marier avec une de ses jolies camarades. L'amour fou, sans fin, le gros béguin, impossible de s'en séparer.

Il en demeura amoureux un long moment, de cette fille. Jusqu'à la fin de ses années collège. Jusqu'à ce qu'elle déménage, après l'avoir rejeté, comme une pauvre merde. Et, vous vous doutez bien qu'est-ce que cet "accident" - ou devrais-je dire, leçon - lui a causé ? La phase un. A seize ans, Sae Ho montrait son autre soi. Cela ne durait à peine que quelques secondes, c'était court, rapide, presque personne ne se souvenait de ce qu'il passait. Sachant qu'il ne pleurait presque jamais - la dernière fois en date, pour vous dire, c'est quand il est tombé des escaliers, à dix huit ans, et que sa jambe s'est retrouvée fracturée. Dur dur, un long moment de plâtrage, de fauteuil, de glandage.

Pour finir, je tiens à préciser que Sae Ho mise son avenir sur ses parents. Il compte être un piston, oui. Mais qui sait, cet acte lui réussira, et il finira riche, adulé de tous, avec une belle famille, et une folie incontrôlable ? Tentant.

Allez, y'a pas encore de roman sur ma magnificence - mais ça ne saura tarder quand j'aurai conquis le monde entier, renversé toutes les dictatures, épousé toutes les idoles, toussa, toussa.
Je suis Kkam, autrement dit Marie pour les intimes. J'ai quinze ans - YOLO OK -, j'ai le nom de Jongin tatoué sur mon cul, parce que c'est mon bias, voilà voilà.
Que dire de plus ? J'aime tout et rien, je suis allergique aux méchants, j'épouse les gens facilement, hm, je suis ici grâce à ivy et sa manière de m'attirer dans les limbes des forums. J'aime tout ce qui est poilu - oui, même ton sexe, JP.
Le design m'a fait orgasmé - j'parle même pas du contexte. Gg les gulls.
Wllh, je vous aime.