une patte. c'est ainsi que l'on nomme un chien, non ? phoenix, c'est exactement comme un clébard. il est doux, affectueux, câlin. il aime les caresses, qu'on lui grattouille l'orei- ouais, bon, faut pas exagérer. mais en gros, il n'a pas un caractère très compliqué, ni difficile à vivre, d'ailleurs. le genre à quasiment toujours dire oui, même quand ça ne lui plait pas. certains le traitent de soumis, d'autre de bonne poire. mais phoenix aime simplement rendre service, et recevoir un sourire peut paraître bien peu, mais pour lui, c'est déjà beaucoup. altruiste, généreux, bon vivant. le jeune homme remet toujours l'ambiance ou la bonne humeur dans les troupes. faut croire que son sourire est communicatif. un étirement de lèvre, et toute l'assemblée se met à le suivre. la joie de vivre, comme le penserait quelques uns. mais faut aussi savoir que, comme un chien, phoenix a ses petites humeurs. il ronchonne quand il est déstabilisé, il grogne quand il est jaloux, et il ne battra jamais de la queue quand on l'appel! son caractère malléable le rend justement appréciable, voir tape à l'oeil. il attire l'attention, il inspire la confiance, il donne envie d'être connu. ce n'est pas le genre à se moquer ouvertement, ni à pointer du doigt. au contraire, phoenix accourait pour vous portez secours. dans une autre vie, il dit toujours qu'il aurait pu être pompier, ou médecin. or, la seule chose qu'il peut faire, c'est sourire à sa clientèle. ce n'est pas plus mal, un compliment reste un compliment, bien qu'il ne sauve pas des vies. d'un autre côté, phoenix, c'est une tête. pas le style à aimer les cours au point de réviser n'importe où, n'importe comment. non, il a une intelligence naturelle qui le pousse à tout comprendre, dès la première explication. un schéma, et il sait. rajoutez à cela une parfaite mémoire, et vous aurez un faux intello. malheureusement, le jeune homme n'aime pas mettre cela en avant, et préfère passer pour un gars "cool", qu'un premier de la classe. ça ne change pas ses notes, bien sûr! il aura toujours bien plus que la moyenne, si ce n'est la meilleure note de sa classe. mais comme d'habitude, il feintera en se taisant ou en le cachant. mais il n'y a pas que du bon dans ce garçon. menteur, bon comédien, manipulateur. cela, il ne l'utilise pas à tord ou par méchanceté, mais seulement quand ça l'arrange. un empêchement ? il vous pondra une excuse en or pour échapper à la sentence. une bonne affaire ? il vous dégotera la meilleure solution pour l'obtenir. un malaise ? il vous sortira une belle histoire  pour calmer le jeu. en bref, il jugera lui-même si c'est bon ou mauvais d'agir ainsi. quelqu'un de réfléchit, peut-être de posé, et d'assez calme en général. phoenix n'a rien d'un mec hyperactif, juste sociable et attachant.

Ton déclencheur c'est quoi hm ? :  il en faut vraiment très peu pour lui. ça se passe au contact visuel, dans des cas plutôt fréquent, comme ils peuvent être plutôt rare. suffit juste qu'il voit quelqu'un se faire brutaliser, frapper, ou pire encore, pour réagir tel un ours. le gentil phoenix patte de velours, deviendra le méchant phoenix griffe dehors. une scène de violence le pousse à être aussi violent. à croire qu'il joue le calque. mais phoenix déversera ce mal sur la personne qui à déclenché ce même mal. le faible y gagnera, lui, par contre. il n'aura pas froid aux yeux, comme il ne se rendra même pas compte qu'il agit, en fait. mais battez vous devant lui, et faite en sorte de prier avant que ça se déclenche réellement.

Ton caractère, il est comment quand t'es pas toi ? : la colère. l'envie de meurtre. la violence. l'impossibilité de se contrôler. si phoenix est gentil et serviable, ça inverse la tendance quand il voit quelqu'un se faire frapper. il devient vite brusque, incontrôlable, sans écoute. comme si son cerveau se mettait en mode off, comme s'il se déconnectait pour mieux s'abandonner au côté obscur. il n'hésite pas à taper, il se fiche pas mal de blesser. phoenix s'attaquera principalement à celui qui fait souffrir, et non l'inverse. par contre, une fois la crise passée, il ne souviendra d'absolument rien. la suite dépend de la révélation. soit il s'en veut en sachant la vérité et culpabilisera un long moment. soit il n'en saura rien, et ... il restera aussi toutou qu'à l'origine.

canada, québec, montréal. la ville de départ pour cette histoire, là où ce gamin s'est vu accordé la vie, ainsi qu'un prénom. pheonix. comme l'oiseau renaissant de ses cendres, comme la légende imaginaire. d'origine canadienne, pheonix portera le nom de "mcall" dû à son père purement américain. sa mère, park subin, se nommera ainsi mcall subin. mais ce n'est pas le récit du père ou de la mère qui importe, mais bien celui de leur fils. né dans une bonne famille, le petit phoenix a toujours été chanceux, autant par l'amour de ses parents, que sa bonne éducation. façon vieille école, comme le disait si bien sa mère. elle lui a apprit à bien se tenir à table, à ne dire aucun gros mot, à toujours aider son prochain, à ne jamais rien réclamer. pour cela, madame mcall était très à cheval. par manque de boulot, elle prenait son temps à bien élever son enfant. ainsi, phoenix prenait l'image d'un bambin calme et poli, souriant et affectueux. les week-end, il pouvait sortir avec son père pour aller à la pèche, ou tout simplement se baigner ou pique-niquer en famille. la belle affaire, la belle vie. il n'avait pas besoin de réclamer pour avoir. non, phoenix se contentait du peu qu'il obtenait de ses parents. un jouet, une friandise, un sourire, un mot doux. autant matériel, qu'immatériel. c'était l'époque où monsieur mcall était encore employé dans une célèbre entreprise québécoise, et où rien ne leur manquait. puis, il y eut la chute libre, la descente aux enfers.

du jour au lendemain, ce petit paradis prenait fin. la conclusion tombait durement sur la famille mcall. l'entreprise du père coulait, et ils se devaient d'éliminer des employés. monsieur mcall fut sur le banc de touche, avant d'être viré de l'équipe. sans emploi et mise au chômage, l'homme s'installa dans une routine affligeante entre sorties au bar et canette de bière. la maison en était jonché, déprimant autant la mère que le père. si au début ce n'était rien de plus qu'une dépression en solitaire, son père a rapidement rejeté la faute sur sa femme. aucun boulot, toujours à rire avec les voisines du quartier, jamais triste. alors les choses s'emportaient et l'homme se dégradait. si ce n'était que des bouteilles d'alcool ingurgité à n'importe quelle heure de la journée, au final, ce fut carrément la main levée. madame mcall gardait le silence, mais son corps parlait pour elle. hématomes sur hématomes, fatigue sur fatigue. ce traitement l'épuisait. elle ne supportait plus l'état inquiétant et violent de son mari. quant à phoenix, lui, il craignait son géniteur. caché derrière une porte, dissimilé derrière un mur. l'enfant voyait ou entendait toujours ces moments de brutalité. il enregistrait les pleurs de sa mère, les cris de son père. et cela le peinait de ne pouvoir rien faire. jusqu'au jour où il comprit que la vie, ce n'était pas cela. que sa vie ne méritait pas d'être ainsi. même s'il attendit d'avoir dépassé la dizaine pour réagir.

un jour, la crise explosa à nouveau. fou de rage, le père avait attrapé sa femme par les cheveux pour la jeter par terre, complètement ivre. il hurlait, il lui balançait des horreurs à la figure. et la femme en larme encaissait, sans vraiment savoir pourquoi. mais s'en était trop pour le fils. phoenix en avait suffisamment marre d'être qu'un spectateur dans ce cirque. marre de voir le lion sortir de sa cage pour attaquer son publique. marre de devoir sécher les larmes de sa mère quand son père tombait de fatigue. alors sans réfléchir, il s'imposa. le gamin sortit de derrière sa porte pour s'interposer entre ses parents. certes, des coups, il en a prit aussi. il a subit pour sa mère. mais jamais il n'a montré un signe de faiblesse, aucune larme, aucune plainte. la haine qu'il éprouvait pour son père, personne ne pouvait la jauger, ni vraiment la comprendre. mais lui, lui, il a vu tellement de fois sa mère détruire et en mauvais état, qu'il ne peut pardonner à cet homme son mal. du moins, jusqu'à qu'il s'en aille. sans prévenir, sans rien dire.  il a prit ses affaires et il est parti. phoenix devait avoir treize ans à l'époque, et il détestait encore plus son paternel d'avoir prit la fuite.

dans les années qui ont suivit ce départ, sa mère s'est reconstruite. elle s'est relevé, elle s'est de nouveau battu, et finalement, elle a trouvé sa perle rare. un coréen, comme elle. wang il nam. de rendez-vous en rendez-vous, l'amour est né. puis de jour en jour, ils se sont mariés. ainsi, mcall devenait wang. wang pheonix. à ce renouveau, son beau-père décidait de les embarquer dans son pays natal, la corée du sud. l'adolescent disait donc adieu au canada, adieu à ses amis, adieu à son ancienne vie. il pliait bagages pour un nouveau monde, une nouvelle existence. terminé le phoenix mcall qui devait se battre contre son père pour obtenir justice. il devenait tout simplement wang phoenix, étudiant en management. lui, son truc, c'est gérer. faut dire que dans ce pays, la musique et l'art font vivre. s'il ne veut devenir une idole, ça ne le dérangerait pas de s'occuper d'eux. mais pour l'instant, il doit encore étudier, et bosser. ce petit boulot en fin de journée, il le pratique dans le dos de ses parents. ni sa mère, ni son beau-père, ne savent ce qu'il fout une fois les cours terminés. sorties entre potes ? cours du soir ? moment de détente ? non, phoenix joue un rôle qui lui scie à merveille. comédien. ainsi, phoenix fera croire qu'il a vingt-et-ans, pour n'avoir aucun n'ennuie dans son boulot. seulement parce qu'il est serveur au styx.

quant à ses crises de colère, pas la peine de préciser l'origine de ce fait ? son père. les instants de violence passés avec lui, sans jamais se rebeller. avec l'âge, avec l'expérience, pheonix n'a pas pu se rentabiliser comme par le passé. de simple spectateur, il devenait le déclencheur. la violence, ça le répugne. mais ça le dégoûte encore plus quand il sait que cela le touche aussi. il n'y peut rien. ses crises l'aveugle, puis le fatigue, et son cerveau concède qu'il n'a pas besoin d'en être envahit. alors fatidiquement, il oubliera. il oubliera sa haine, sa violence, ses envies de détruire.

je vais pas jouer les incognito, cette fois-ci (aa) bcz j'ai pas envie de me cacher tout le temps, je m'assume voila ! #out# sinon, je suis spinebreaker, dernièrement. mais j'ai tellement de pseudo que je vous filerais la migraine, haha ~ j'ai donc 21 ans, bientôt 22 ;w; *vieille* &puis j'ai pas de bite, alors je peux pas non plus la grossir par fierté orz j'aime la mozzarella ♥ bah, j'avais envie d'un forum par trop prise de tête -où je n'ai pas besoin de faire des pavés, bcz je bosse y__y- et je voulais aussi rejouer un peu jimin! depuis le temps, pauvre gosse ~ && le design tape vraiment à l'oeil, sans jeux de mots kkk~ bref! je pense avoir tout dit ? ah! ne me jetez pas des tomates, c'tout ;w; *persécutée* le contexte déchire, comme à chaque fois! enespérantquej'ailachancedeméterniserdessuscommeunegrand-mère

hs; tellement l'habitude d'écrire en minuscule que j'ai même foutu mon pseudo sans majuscule -coolmavie- sinon... bah, j'ai pas pu résister à ce prénom ;w; il aura des origines étrangères, rassurez-vous *secache*